Malheureusement, tous les établissements ne sont pas accessibles aux personnes à mobilité réduite alors que plusieurs obligations sont en vigueur. Il est impératif de les suivre sous peine de recevoir diverses sanctions.
Permettre aux handicapés de se mouvoir comme ils le souhaitent
Certains bâtiments disposent de tout le nécessaire pour que l’accessibilité soit favorisée, mais ce n’est malheureusement pas le cas de l’ensemble des établissements français. Pour y remédier, il est judicieux de se pencher sur les différentes techniques afin de trouver des solutions pour sécuriser des escaliers, optimiser le franchissement d’obstacles ou encore disposer d’une signalétique multisensorielle. Les personnes qui rencontrent des problèmes de vue doivent elles aussi être prises en compte dans les diverses technologies d’accessibilité.
Vers une amende de 5000 euros en l’absence d’agenda
Il est important de noter que tous les bâtiments ouverts au public sont invités à opter pour une solution adaptée. Dans le cas contraire, ils doivent impérativement s’inscrire dans l’Agenda d’Accessibilité Programmée afin que le nécessaire soit fait pour remédier au problème. Si aucune des démarches n’est réalisée, les établissements peuvent être la cible de sanctions, le gouvernement a prévu 1500 euros si l’agenda concerne une bâtisse de 5e catégorie, mais dans les autres cas de figure, le montant atteint 5000 euros.
Choisir la meilleure signalétique en fonction des lieux
Les professionnels qui accueillent du public doivent se référer à la législation mise en place puisqu’une sanction pénale de 45 000 euros est en vigueur. Elle sera attribuée si une non-conformité à l’obligation est identifiée. Il est donc primordial d’opter pour une bonne signalétique que ce soit au niveau des espaces publics, des transports, et même de la voirie. Une entreprise compétente réalisera ainsi une étude de faisabilité et présentera un cahier des charges à respecter en fonction de la configuration.