Dans tous les domaines depuis l'aube de l'Humanité, travailler en commun a toujours été plus payant que d’œuvrer de façon isolée, chacun dans son coin. Plus les hommes sont disposés à apprendre les uns des autres, plus ils réussissent à travailler ensemble, et plus ils peuvent partager des savoirs comme des compétences, chacun pouvant développer les siens indépendamment tout en en faisant profiter les autres. Tout le monde ne peut pas tout apprendre, en revanche, en développant à la fois un esprit de partage de connaissances comme de compétences, on peut arriver, à plusieurs, à de meilleurs résultats. L'exemple le plus récent est le tournant qu'ont pris les grandes entreprises du web, en développant des partenariats avec des chercheurs en sciences humaines, pour développer des moteurs de recherche sémantiques, basés sur des travaux de linguistique.
La collaboration pour l'innovation
Les entreprises qui décident de travailler avec des laboratoires ou des centres de recherches, en finançant des travaux spécifiques correspondant à leurs domaines d'activités, n'agissent pas différemment. A l'instar de ce que le groupe Roullier montre sur son site web https://www.roullier.com en matière de collaboration avec des instituts de recherche, mais aussi dans ce qu'il fait pour la promotion des innovations en remettant chaque année un prix, on constate que l'industrie gagne à travailler de concert avec des universités et des chercheurs, pour bénéficier de leurs regards et de leurs expertises particulières.
Mieux comprendre l'environnement pour avancer
Ainsi en prenant en compte des données chiffrées et des résultats de travaux de recherche sur l'environnement, l'entreprise qui fabrique notamment des fertilisants et des compléments alimentaires pour les élevages, a pu développer des produits plus adaptés aux besoins des animaux et des plantes, mais qui respectent aussi des données liées à l’environnement et à sa préservation. Ainsi si la nature est la première bénéficiaire de tous ces travaux, les consommateurs finaux des produits alimentaires générés par les cultures et les élevages en sortent eux aussi gagnants.