Que ce soit des suites d’une maladie ou pour toute autre raison, nous avons tous et toutes des complexes qui nous pèsent plus ou moins sur le moral et la santé. Pour en venir à bout, nous vous proposons de découvrir 3 méthodes qui vont de la plus radicale à la plus progressive.
La chirurgie esthétique, une méthode radicale
Lorsque l’on considère l’une de nos particularités physiques comme un défaut, cela peut devenir un complexe. Parfois, on ne supporte pas son nez, son double menton ou des rides plus ou moins profondes. Pour corriger tout cela, on peut passer par une clinique de chirurgie esthétique. Pour autant, les interventions qui sont pratiquées ne sont pas à prendre à la légère. Dans ces cliniques, on peut aussi résoudre des problèmes qui ont de l’influence sur notre santé. Des réductions mammaires peuvent soulager des problèmes de dos, et des rhinoplasties peuvent venir à bout de mauvaises formations des parois nasales.
Des cours pour contourner son complexe
Selon le complexe dont vous souffrez, vous pouvez tenter d’en venir à bout grâce à des méthodes moins radicales que la chirurgie. Par exemple, si vous n’appréciez pas votre nez sans que cela n’ait d’influence sur votre santé, vous pouvez suivre un cours de maquillage pour apprendre à dissimuler la courbe qui vous pose problème. Si vous êtes en surpoids, vous pouvez contacter un nutritionniste ou vous offrir les services d’un coach sportif pour pratiquer une activité sur mesure qui correspondra à vos possibilités et vos envies. Le but sera de détourner le problème pour aller petit à petit vers la troisième méthode.
L’acceptation, la méthode la plus difficile
Accepter ce que l’on considère comme un complexe, un défaut ou même un problème est certainement la méthode la plus difficile. Mais ce n’est pas impossible pour autant. En effet, si vous avez déjà lutté durant des heures devant votre miroir, vous savez déjà que votre ressentiment ne disparaîtra pas en 5 minutes. N’hésitez pas à en parler de manière approfondie, que ce soit avec vos amis, un proche ou même un thérapeute, l’acceptation passe par la parole.